Et bien oui, je me révolte ! Je refuse de me laisser pousser dans la mélancolie par un petit virus et surtout par les médias qui nous proposent des comptes-rendus contradictoires et pessimistes. Autour de nous, dans notre confinement, je vois des gens qui s aident, qui partagent peine, soucis et gaieté:des gens qui ne se connaissent guère en fait mais que le besoin de donner et de recevoir des signes de solidarité et de fraternité, amènent à penser aux autres et à chercher à les aider.

C’est une alliance tacite dans le combat contre la crise et le virus. C’est pourquoi je souris à tout qui croise mon chemin et même derrière un masque mon sourire est dans mes yeux. Il donne à d autres un instant de bonheur et à moi aussi.